
Petit globe de la Terre Je vois au travers de toi, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit Que te faut-il ? Tu souffres à hurler ? Et maintenant, où seras-tu tranquille ? Et fixant l'eau, l'air, l'ombre et l'heure insaisissables, Tout en me disant qu'elle le sera toujours quoiqu'il arrive, Me voilà dans cette baignoire, à lire, cette fois. Nous luisons comme la mort.
Il s’agit de centons. C’est à dire d’une reprise de textes d’autres œuvres réarrangé en un nouveau texte. Néanmoins, je salue le travail de Loulou.
Car en cette période de long confinement, ces mots résonnent parfaitement.
A vous de trouver les auteurs de ces vers !